La région

Nous nous trouvons dans le Dauphiné, au coeur même de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Afin de vous localiser facilement, consultez la carte ci-dessous (région Auvergne-Rhône-Alpes) :


Pour information, et pour connaître l'origine du Dauphiné, Wikipédia rappelle :

"Le Dauphiné est une entité historique et culturelle, jadis nommée Viennois parce que Vienne fut par le passé la capitale de toute cette ancienne province Viennoise située dans le quart sud-est de la France actuelle.

Le Dauphiné de Viennois fut un État, sous l’autorité des comtes d’Albon, qui prirent le titre de dauphins.

Cette entité apparaît dans l'ancienne Provence, et était une subdivision du Saint-Empire romain germanique, de ses origines admises au XIe siècle, jusqu'à son rattachement en 1349 au royaume de France.

En 1343 le roi de France Philippe VI de Valois avait décidé, lors de son séjour à Sainte-Colombe, et acté par lettres patentes datée d’août de la même année, que désormais lui et ses successeurs à qui appartiendra le Dauphiné seront appelé Dauphin de Viennois.

La province continue à l'époque de s'étendre et acquiert sa forme définitive au xve siècle.

Le Dauphiné de Viennois devient alors la province du Dauphiné, et conserve une certaine autonomie jusqu’en 1457.

À la Révolution française, la province se retrouve divisée en trois départements : la Drôme, les Hautes-Alpes et l’Isère.

Durant les XIXe et XXe siècles, une partie de son ancien territoire est rattachée au département du Rhône.

Ses habitants sont les Dauphinois."

La plus étonnante visite à effectuer est, naturellement, celle du Palais Idéal du Facteur Cheval.

On peut également voir son tombeau au cimetière du village, à environ 1 km du Palais.

Unique au monde, le Palais Idéal "a été reconnu comme une oeuvre d’art brut. Il a été classé en 1969 Monument Historique par André Malraux, alors Ministre de la Culture, au titre de l’art naïf." (Wikipedia)

A voir aussi dans le secteur et dans le Dauphiné :

Le village d'Anjou :

L'église a été construite à la fin du 19e siècle en galets si typiquement dauphinois. Son clocher a été achevé avec la pose de deux cloches fondues à Lyon. Ce clocher possède en outre la plus ancienne cloche de la région. Elle provient du couvent des Célestins de Lyon détruit sous la Révolution française.
Une collection de vitraux, (maître-verrier Pierre Miciol), est unique par l'homogénéité du dessin et la qualité exceptionnelle des couleurs Wikipaedia).

Safari, parc zoologique de Peaugres (37 km)

Remarquable safari-parc zoologique à 40 km de notre établissement, le Safari de Peaugres présente + de 1000 animaux à découvrir en famille, en voiture et à pied.

Condrieu :

Condrieu fait partie du projet TEPOS, territoire à énergie positive avec Vienne, "Condrieu Agglomération".

Élus et citoyens du Parc du Pilat ont créé la Centrale Villageoise de la Région de Condrieu, une première en France, qui regroupe des actionnaires citoyens qui produisent collectivement de l'énergie à partir d'installations photovoltaïques sur des toitures privées et publiques.

Le célébre vin de Condrieu est un vin blanc d'appellation d'origine contrôlée produit sur la rive droite du Rhône, près du bourg, au sud de la ville de Vienne.
Il s'agit d'une appellation du vignoble de la vallée du Rhône septentrionale, entre les aires de production du côte-rôtie au nord et du saint-joseph au sud.
Le vignoble du Condrieu inclut celui de l'appellation Château-Grillet ; on ne produit que du vin blanc sur ces deux appellations, utilisant un seul cépage, le viognier, qui trouve ici son territoire d'élection.

Eglise et prieuré de Manthes,joyau d'architecture sacrée :

Le chevet de l'église est roman avec une abside et deux absidioles voûtées.

Les quatre grosses piles en tuf de la croisée sont surmontées de chapiteaux : trois ont des motifs végétaux alors que le quatrième représente une petite tête sculptée de la bouche de laquelle sort du feuillage (symbole de la parole) que l'on retrouve souvent dans l'art rhodanien. voûte en berceau. On trouve des traces de peintures et de fresques notamment sur la voûte de l'absidiole le triangle de la Trinité.

Le porche extérieur est composé de deux voussures plein cintre surmontées de trois têtes sculptées pourvues de longues moustaches l'une à gauche, les deux autres à droite du vitrail Saint Georges. Ces têtes sont vraisemblablement issues de l'art celtique pré-chrétien, récupérées alors sur un sanctuaire. On trouve dans le chœur un double vitrail représentant Saint Pierre et Saint Paul dont les têtes datent du xvie siècle. Le reste de la verrière a été très restauré au xxe siècle.

Le clocher roman est trapu, quadrangulaire de tradition viennoise. Il a été reconstruit au xvie siècle en molasse composé de deux étages et percé au deuxième niveau de fenêtres géminées. En 1741, l'église manque d'être interdite étant donné son mauvais état (le clocher avait brûlé et le toit s'était écroulé). Il ne reste rien du prieuré clunisien, les éléments visibles aujourd'hui reflètent les xve et xvie siècles.

Sa légende et St Jacques de Compostelle :

Une légende chrétienne raconte comment un fantôme apparut plusieurs fois à un prêtre nommé Étienne aux alentours du prieuré.
Un chevalier fut enterré près de l'église de Manthes. Peu après, Étienne traverse le bois voisin et entend le bruit d'une armée. Effrayé, il se cache dans le bois. Le chevalier défunt à cheval s'arrête devant lui pour lui demander une grâce. Il souffre d'horribles tourments pour n'avoir pas confessé deux péchés. Il demande alors à Étienne d'aller trouver son frère Anselme pour qu'il répare ses fautes et que lui puisse être délivré. Pour preuve de ses dires, Étienne ne trouvera plus l'argent qu'il avait caché pour aller à Compostelle. De plus, il est déjà apparu au chevalier Guillaume du château de Moras. Mais Étienne ne trouvant pas Anselme ne put remplir sa tâche (Wikipedia)

Le massif du Pilat (promenades et randonnées), Pélussin, Malleval, Lalouvesc :

Le parc naturel régional du Pilat est l'un des 10 parcs naturels régionaux en Auvergne-Rhône-Alpes.

Labellisé en 1974, il est historiquement le deuxième parc naturel régional créé dans la région et compte parmi les premiers établis en France. (Wikipédia)
Le massif du Pilat vous rapprochera des monts du Massif central et offre, à une distance, tout à fait accessible, de multiples chemins de randonnées, excursions, avec une flore totalement remarquable sans atteindre d'énormes difficultés ni d'efforts physiques pour votre désir de marche, avec des paysages proches du "sublime".

Le jardin du Bois Marquis à Vernioz :

Superbe parc et jardin paysager "à l'anglaise" avec un terrain immense et des espèces arboricoles rares et identifiées, des oiseaux aquatiques sur les étangs et de vastes aires de jeux pour les enfants.

Eglise de Thodure :

Oeuvre de l'architecte Alfred Berryer, l'église Saint-André a été édifiée en 1863.

Elle constitue un somptueux exemple de construction en galets du couloir rhodanien, avec l'ensemble de ses murs extérieurs exclusivement édifiés dans cette matière.

Vienne :

Des Celtes arrivèrent sur ce territoire dont l'une de ces tribus, les Allobroges (les gens venus d'ailleurs) autour du ve siècle av. J.-C. Le territoire contrôlé par cette peuplade dont la capitale sera Vienne, s'étendra de Genève au mont Pilat, en passant par Cularo (future ville de Grenoble).

Des auteurs anciens, repris par des chroniqueurs médiévaux estiment qu'à la suite d'une importante famine (suivant Étienne de Byzance dans ses Ethniques du vie siècle), des Crétois émigrent en grand nombre de la cité crétoise de Viánnos et fondent la nouvelle ville de Viánnos qui deviendra ensuite la ville romaine de Vienna. Un auteur affirmant même que ces Crétois seraient venus en Gaule au retour d'Idoménée de la guerre de Troie43.

Sa situation excentrée dans ce territoire, ce qui pourrait apparaître comme un désavantage, est compensée par l'importance des voies de communication : la capitale des Allobroges est également située sur l'axe rhodanien. C'est sur ces collines que les Viennois se réfugiaient en cas de danger. Mais l'établissement Gaulois s'étend aussi en contre-bas de Pipet, sur un plan incliné constitué par l'ancien cône de déjection de la Gère et qui va jusqu'au Rhône.

Vienne est aussi un port et, à ce titre, depuis plusieurs siècles, elle commerce avec Marseille, le monde grec, et avec l'Italie.

Au 1e siècle, Strabon, appelait déjà Vienne, capitale des Allobroges. La puissance de Rome s'est manifestée en Gaule. À l'appel de Marseille, les Romains ont franchi les Alpes42 en 125 av. J.-C. et détruit le chef-lieu du peuple des Salyens, Entremont, près d'Aix-en-Provence. Les chefs salyens se réfugient alors chez les Allobroges. Ceux-ci refusent de livrer leurs hôtes aux Romains. C'est la guerre. L’armée romaine remonte le Rhône. Sans attendre les Arvernes, auxquels ils étaient alliés, les Allobroges engagent le combat, près du confluent du Rhône et de la Sorgue. Ils sont écrasés, laissant sur le champ de bataille 20 000 des leurs et 3 000 prisonniers.

En conséquence, la cité allobroge perd toute liberté et est soumise à l'impôt qu'en tant que vaincue elle doit à Rome. Cet impôt est très lourd; les Allobroges se rebellent donc. L'envoi de deux délégations à Rome n'aboutit à aucun résultat. Alors, en 62 av. J.-C., Catugnatos, entraîne les Allobroges dans la révolte. Pendant deux ans, il tient tête aux légions romaines. Mais le pouvoir de Rome est trop solide. En 61 av. J.-C., Vienne est évoquée dans la guerre des Gaules (58-52) sous la plume de Jules César45.

Pendant la guerre des Gaules, Vienne est fidèle à Jules César. D'ailleurs c'est à Vienne qu'il installe un corps de cavalerie de renfort. Ainsi, après la guerre, certains Allobroges sont récompensés. Vers 45 av. J.-C., Tiberius Claudius Nero, père du futur empereur Tibère, aurait installé à Vienne d'anciens soldats de troupes auxiliaires, mais pour peu de temps, puisqu'au lendemain de l'assassinat du dictateur, en 44 av. J.-C., ils sont expulsés et vont s'établir au nord, au confluent du Rhône et de la Saône où, l'année suivante, Lucius Munatius Plancus fonda pour eux la colonie de Lugdunum. Il n'y eut peu de conséquences pour Vienne45.

Les origines de la colonie romaine de Vienne sont fragmentairement connues.C'est en 44 av. J.-C., qu'une révolte gauloise aurait chassé les Romains de Vienne qui fondèrent une autre colonie à proximité, à Lugdunum. Octave aurait ensuite réinstallé une colonie à Vienne. On présume plutôt aujourd'hui que les Romains furent chassés de Vienne en -62 lors de la révolte de Catugnatos. Ce n'est donc que sous Octave que la cité aurait reçu, comme Nîmes, le statut de colonie latine.

Vienne devient rapidement un centre important du commerce et des échanges avec la Méditerranée, de vastes entrepôts découverts à Saint-Romain-en-Gal en témoignent. Elle s'étend alors de part et d'autre du Rhône51.

Elle obtient le privilège impérial de s'entourer d'une muraille dès le ier siècle apr. J.-C. Cette muraille fait 7,2 km de long, soit la plus longue des Gaules ; la superficie enclose, 250 ha environ, en fait également une des plus importantes villes des provinces gauloises. Entre 35 et 41 elle fut promue au statut de colonie romaine Elle fut un centre important durant la période romaine, rivalisant avec sa voisine Lugdunum (Lyon). Sa parure monumentale édifiée sur des terrasses successives dominant le Rhône était impressionnante; de nombreux vestiges en témoignent : Temple d'Auguste et de Livie, arcades du forum, théâtre et odéon, hippodrome, murailles, thermes sont encore partiellement ou totalement en élévation. De nombreuses découvertes et fouilles archéologiques depuis le xvie siècle offrent l'image d'une cité riche et puissante : des monnaies (As de Vienne, Dupondius…), de très nombreuses mosaïques, des fresques, travail du marbre (statues, colonnes…), de la vaisselle de terre cuite, Vienne se distingue par une production de céramiques fines de tradition italique et des vases de tradition celtique; de même, le travail du plomb (sous produit de l'extraction de l'argent), est attesté par plus de 70 signatures de plombiers qui figurent en particulier sur des tuyaux, les archéologues supposent que les mines de plomb locales intensément exploité au 19° siècle l'étaient déjà durant l'antiquité, mobilier51… Le site archéologique de Saint-Romain-en-Gal, un des quartiers de la ville antique qui s'étendait sur les deux rives du Rhône, témoigne de cette richesse.

Au Bas-Empire, le rôle de Vienne s'affirme : capitale du diocèse de Viennoise, elle reçoit la visite de plusieurs empereurs. En 177, le diacre Sanctus de Vienne est martyrisé avec les martyrs de Lyon, première mention du christianisme viennois. En 297 Dioclétien plaça à Vienne le chef-lieu, non seulement d'une province, mais encore d'un diocèse embrassant toute la gaule méridionale. La Province, provincia viennensis comprenait outre les territoires de l'ancienne colonie, le territoire des helviens, des Voconces, des Tricastins, Orange, Carpentras, Cavaillon, Avignon, Arles, et Marseille, son diocèse dioecesis viennensis, s'étendait des Alpes à l' Océan englobant les Alpes maritimes, toute l'ancienne Narbonnaise et toute l'ancienne Aquitaine.

Dotée d'un évêque au moins en 314, elle devient une métropole religieuse importante.

En 2017 est mise à jour lors de travaux de constructions d'immeubles, un site de 7 000 m2 réparti entre Vienne, Saint-Romain-en-Gal et Sainte-Colombe, comprenant des espaces publics, des maisons luxueuses, des boutiques d'artisans et des entrepôts de marchandises, correspondant à une ancienne place de marché de 4 500 m2 avec une fontaine monumentale en son centre. Un premier incendie aurait contraint les habitants à quitter les lieux. Abandonné au iiie siècle, le site est victime d'un second incendie et transformé en un grenier à grains surélevé, devenant par la suite une nécropole au haut Moyen Âge, avec une soixantaine de sépultures57, des équipements militaires, cotte de mailles, glaive sont découverts, ainsi que de très nombreuses mosaïques, et hypocauste, feront qualifier le site de petite Pompéi par les journalistes.

Vienne se révéla être un point de rencontre des routes menant aux cols des Alpes et au cœur du Massif central, la capitale des Allobroges est également située sur l'axe rhodanien. À l'emplacement occupé, à l'époque romaine, par le sanctuaire de Cybèle, permet de découvrir des vestiges des premiers temps Allobroges. Cet habitat Gaulois comprend d'abord un double oppidum, constitué par les collines de Pipet et de Sainte-Blandine mis au jour dans les années 1950, permet de confirmer l'importance de ce site urbain : objets de la vie quotidienne (ustensiles de cuisine, outils, fibules, chenets) côtoient des objets de prestige importés d'Italie (vaisselle en bronze, objets liés au service du vin)44. C'est sur ces collines que les Viennois se réfugiaient en cas de danger. Mais l'établissement Gaulois s'étend aussi en contre-bas de Pipet, sur un plan incliné. C'est l'habitat permanent révélé par les fouilles du sanctuaire de Cybèle.

Vienne est aussi un port et, à ce titre, depuis plusieurs siècles, elle commerce avec Marseille, le monde grec, et avec l'Italie.

Saint Romain-en-Gal et le musée gallo-romain :

Dans l'Antiquité, Saint-Romain-en-Gal était un vaste quartier résidentiel et commercial de Vienne (Vienna), alors une des principales villes de la Gaule romaine. On y trouve notamment le Palais du Miroir. Le site se prolonge au sud sur Sainte-Colombe-les-Vienne après un espace vide de quelques hectares.
Un premier atelier de poterie fut découvert entre 1977 et 1978 à 80 m au nord du site archéologique. Il est actif à partir du milieu du 1e siècle et produit uniquement des céramiques à pâte calcaire (cruches, mortiers, pots à deux anses et jattes à bord rentrant et lèvre arrondie).
Un autre atelier est découvert au nord-est du site archéologique. Il est lié à la première phase d’occupation du site 8.

Un troisième atelier a laissé une fosse dans la Maison des Dieux Océan9, et semble avoir été légèrement antérieur à celui de la Muette à Lyon (ce dernier étant daté de 15 av. J.-C. à 15 apr. J.-C.)10. Il produit des gobelets d'Aco dès 20 avant J.C.. Il produit également des gobelets à glaçure plombifèreaté des années -30 à -15. Des gobelets de Saint-Romain portent la seule signature d'Aco, ce qui est rare en Gaule : cette signature sans associé/s n'est trouvée (en 1985) qu'à Bibracte, Gergovie et Puys-de-Voingt. La série des décors et des poinçons couvre presque tous ceux de la Muette, mais est très différente de ceux de Loyasse. De plus certains vases de la Muette et de Saint-Romain ont été fabriqués à partir des mêmes moules, attesté par le fait qu'on retrouve les mêmes défauts chez les uns et les autres.

Beaurepaire :

Beaurepaire se situe dans une large vallée dénommée Bièvre-Valloire. Il s'agit d'une vallée sans cours d'eau, entre l'Isère au sud et la vallée du Rhône, à l'ouest, ainsi que la plaine du bas-Dauphiné située plus au nord, quelques collines boisées dénommées Balmes viennoises la séparant de cette dernière. La Bièvre est la partie la plus orientale, la Valloire où se situe Beaurepaire étant la partie la plus occidentale et la moins élevée de la vallée.
C'est un bourg animé, avec de nombreux commerces et un agréable marché, presque méridional le mercredi matin.

En vous baladant au milieu des maisons pittoresques du Moyen Âge et de la Renaissance, vous pourrez partir à la découverte du château de Barrin ou encore apprécier l'église qui date en partie du XVe siècle.

Le château de Lestang du XIIe siècle mérite également le détour.

Beaurepaire prend place à une soixantaine de kilomètres de Grenoble ou de Lyon. Elle se situe dans la partie occidentale du département, non loin de Pact, Marcollin ou Lens-Lestang. Peuplé dès le Néolithique moyen, Beaurepaire fut longtemps une terre tournée vers l'agriculture et l'élevage. Elle fut au XIXe siècle l'une des premières communes d'Europe à bénéficier d'un éclairage électrique.

Le bourg de Roussillon

Cette terre fut un comté appartenant à une branche bâtarde de la maison capétienne de Bourbon.
Cette jolie commune, toute proche du Rhône, avec un marché en plein air les mardi, mercredi et dimanche, est essentiellement connue pour la signature de l' "Edit" de 1564 qui décréta le début de chaque année civile fixé au 1e janvier.


En 1564 Catherine de Médicis, en voyage pour présenter le royaume à son fils Charles IX, séjourna chez le neveu du cardinal de Tournon. C'est là qu'elle modifia le projet du texte de l'Edit qui fut ensuite présenté au parlement et que naquit le 9 août 1564 ce célèbre édit de Roussillon.

La cave de Tain l'Hermitage

Situé au pied du vignobles de l’Hermitage, la Cave de Tain est l’un des principales producteurs de vin de la Vallée du Rhône produisant 5 grands crus : Hermitage, Crozes-Hermitage, Saint-Joseph, Cornas, Saint-Péray. Fondée en 1933, la Cave de Tain célèbre cette année ses 85 ans. A travers un circuit guidé au cœur du nouveau chai inauguré en 2015, découvrez l’histoire, le savoir-faire de ses vignerons, œnologues, maitres de chai… Avec plus de 300 coopérateurs et 50 employés, la Cave de Tain vinifie plus de 1000 hectares de vin, ce qui représente environ la moitié des appellations de la vallée du Rhône septentrionale.

La Cave propose aujourd’hui une gamme bio sur les appellations Saint-Joseph, Crozes-Hermitage, Hermitage, Cornas et Saint Péray.
La visite guidée de la Cave de Tain se termine par une pause gourmande, le temps d'une dégustation de vins (avec modération) parmi les différentes gammes proposées par la Cave de Tain Grands Classiques, Parcellaires et Crus d'Exception.

Poursuivez votre visite en parcourant les vignobles de l’Hermitage grâce au circuit « Sur les Pas de Gambert ». Balade de 4 kilomètres au cœur des somptueux coteaux de l’Hermitage.

La cité du chocolat, le musée, et la boutique de Valrhona (Tain l'Hermitage)

Installée sur le site historique de la Chocolaterie Valrhona, la Cité dévoile au grand public et aux professionnels les coulisses du Grand Chocolat. Au cours d’une déambulation gourmande et surprenante au cœur de la Cité, vous découvrirez tous les secrets de fabrication du chocolat et la palette des savoir-faire de Valrhona et de ses clients. Gourmets et gourmands, amateurs ou professionnels, venez vivre une expérience magique avec cet ingrédient d’exception qu’est le chocolat !

Des fèves de cacao aux créations des grands chefs, vous pourrez explorer, sentir et déguster le chocolat sous toutes ses formes… Sur ces 2000 m2 dédiés au chocolat, on vous proposera 4 activités : le parcours de visite, l'espace de restauration, l'école Gourmet pour découvrir les techniques de pâtisserie et une boutique de chocolat de 200m2.

Croisière sur l'Isère dans un bateau à aube :

On vous propose une croisière exceptionnelle et conviviale au pied du Vercors, au départ du village de Saint-Nazaire-en-Royans dans la Drôme, sur le bateau à aube Royans-Vercors à l’architecture insolite qui donne à votre excursion un air de Louisiane !

Vouis embarquerez pour un voyage au fil des eaux des rivières La Bourne et de l'Isère lors d'une croisière d'1h30, dans un écrin de verdure, où les oiseaux vous accompagnent pour un moment de détente et de découverte, laissant la roue du bateau tourner à la poupe…

Découvrez les richesses du Royans-Vercors à travers 3 autres sites touristiques emblématiques du territoire. Suivez votre guide sous terre dans la Grotte de Thaïs et la Grotte de Choranche, deux paysages souterrains très différents. Acccordez vous une flanerie au rythme des cascades du Jardin des Fontaines Pétrifiantes.

Les villages d'Estrablin, St Sorlin-en-Valloire, Bougé-Chambalud, Montseveroux, Lapeyrouse-Mornay et leurs églises, leurs lavoirs, leurs aménagements paysagers :

Montseveroux est remarquée par son église Saint-Martin, le château et l’ancien hôpital

Estrablin est un charmant village, avec ses constructions propres à celle de la région : le Dauphiné.

A St Sorlin en Valloire, visitez impérativement son ancien lavoir et son église, construite en galets du Dauphiné, comme ses voisines de Thodure, d' Anjou, …, , comme celles, non moins remarquables,de .......

..Lapeyrouse-Mornay : au 19e siècle, les hameaux isolés (Morelles, Lapeyrouse, Mornay Boisvieux, Moras-en-Valloire, Lens-Lestang) réclamèrent la construction d'une église et d'une école, demande exhaussée après le décès de Jean Jacques Henri de Barrin, chef d’escadron d’artillerie, qui lègua une somme d'argent et une parcelle de terre afin d'y construire une église, la cure, la mairie, le cimetière et la maison de l'instituteur; selon son souhait, ces hameaux sont désormais réunis en cette commune indépendante.

Le monument paroissial, ainsi édifié, présente, à lui seul, un superbe exemple de construction dauphinoise.

Bougé et Chambalud, où se trouvent 2 églises de chacun des 2 villages désormais réunis et superbement fleuris.

Le bourg de La Côte St André :

Cette commune, qui compte de nombreux monuments historiques, est la ville natale du compositeur français et chef d'orchestre Hector Berlioz, ainsi que la ville-siège du Festival Berlioz, créé en son honneur et qui se déroule chaque année au tout début du mois de septembre, les principaux concerts ayant lieu dans la cour du château de La Côte-Saint-André.

Ne manquez pas les visites suivantes :

L'église Saint-André :

Cette église romane située au cœur de la ville a été édifiée entre 1088 et 1102, et plusieurs fois remaniée jusqu'au xixe siècle48. Les styles roman, gothique et moderne coexistent donc. La partie la plus ancienne en est assurément la croisée du transept avec sa coupole sur trompes.

L'église est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 5 février 1982.

A remarquer impérativement :
La superbe halle de La Côte-Saint-André :
Datant de la fin du XIII e siècle, elle abrite encore le marché le jeudi matin. Régulièrement entretenue, elle fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 23 avril 1925.

Le château dit Louis XI :
Situé sur les hauteurs de la ville qu'il surplombe, et enjolivé par de jolis effets de lumière (particulièrement au coucher du Soleil) qui le rend immanquable, ce château est ouvert aux visites publiques tout comme, notamment,...

Le Musée Le Paradis du chocolat.

Le château des Croisettes
Ce château, souvent dénommé sous le nom de Domaine des Croisettes, a été édifié à compter de 1892 et présente un parc à l'italienne.

Remarquez les façades, les toitures, le hall, l'escalier et le parc du Domaine des Croisettes.

La ferme Berlioz
La Ferme du Chuzeau, dite Ferme Berlioz fut construite au xixe siècle; elle appartenait à la famille d'Hector Berlioz.

Le verger, le pavillon, l'étable, l'abreuvoir, le bûcher et l'écurie font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques.

Pour les mélomanes :

A La Côte-Saint-André : Le festival Berlioz

Comme tous les ans, le Festival Berlioz se déroule au château Louis XI.

L'escalier, avec sa cage et sa rampe à balustres, la cheminée du rez-de-chaussée et la salle dite de Louis XI font l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrêté du 21 mars 198350. Le Château est propriété de la commune.

A Anjou :

Le festival estival de musique classique, musique de chambre et jazz-manouche : tous les samedis soirs de début juillet à début septembre

Et, comme vous le constaterez, tous les festivals et manifestations musicales organisées annuellement dans le secteur, notamment le célèbre "JAZZ à VIENNE"

Pour vos promenades et randonnées :

L'île de la Platière

Quatre sentiers de découverte "Raconte-moi le Rhône" abordent chacun une thématique liée au fleuve.

Ces cheminements balisés accompagnés de panneaux ludiques vous permettent ainsi de mieux comprendre les éléments du territoire qui vous entourent, coté nature et coté humain, les deux étant toujours liés !

Pour votre sécurité, pensez à vérifier nos consignes d’accès en fonction des débits du Rhône sur notre page d’accueil

La Par Naturel Régional (PNR) de Chambaran :

Proche de St Pierre de Bressieux, ce PNR est sauvage et accueillant; le Parc Naturel de Chambaran, offre ses 300 ha et ses 40 km de chemins, d'allées et de sentiers pour vous promener en toute liberté.

Découvrez au détour d'un vallon, au bord d'un étang, le long d'un chemin, les nombreux habitants qu'il abrite : cerfs, daims, mouflons, chevreuils, sangliers, ainsi que tous les nombreux petits animaux de la forêt. Environ 180 grands animaux sauvages y vivent toute l'année en totale liberté.

À pied, à vélo, à cheval, profitez des chemins et des sentiers entretenus, traversez les bois et laissez vous guider par vos sens…

Choisissez de venir y passer la journée ou préférez y séjourner une nuit, un week-end ou toute une semaine : dans nos hébergements ou en camping, vous serez alors les témoins privilégiés de la vie nocturne de la forêt.

Quelques visites que nous suggérons : musées, villages, édifices sacrés :

Le château de Septème, celui de Châbons (Pupetières), le musée de la faïence fine du château de Jarcieu, le château Lesdiguières abritant le musée de la Révolution française dans un parc de cent hectares à Vizille (plus proche de Grenoble), etc .....

Le château de Septème

Le château de Septème est un ancien château fort, du xive siècle, remanié aux xve et xvie siècles, qui se dresse sur la commune de Septème (Isère).

Le site concentre les ruines d'un premier château du xie siècle, d'une enceinte du xiiie siècle et le château actuel dont l'origine remonte aux xive – xve siècle.

Au titre des Monuments historiques ; les remparts, les restes du premier château et du chemin de ronde de l'ancienne ville font l'objet d'un classement par arrêté du 12 février 1942 ; le château, la conciergerie et le parc font l'objet d'une inscription par arrêté du 27 février 1947.

En 1355 lors du traité de Paris, le château passe aux dauphins de Viennois.

Sous les règnes des comtes Philippe Ier, puis Amédée V, dans la seconde moitié du xiiie siècle, le château est entourée d'une « enceinte d'1 km avec archères et chemin de ronde ». Un second donjon fut édifié.

À l'intérieur du plain château fut construit, au XIIe siècle, une maison forte, à l'origine du château « moderne ». Elle fut remaniée profondément au XVIe siècle par Louis Adhémar de Grignan, gouverneur du Lyonnais.

En 1535, le donjon fut surélevé d'une galerie à arcade.

Cette forteresse fut utilisée encore jusqu’au milieu du XVIe siècle, puis les ruines des murs et des toitures ont comblé l’intérieur jusqu’au niveau du premier étage. De ce château il ne subsiste que des ruines.

Charles IX et sa mère, Catherine de Médicis, y séjournèrent dans la nuit du 16 au 17 juillet 1564. Le château fut ruiné à la Révolution.

Sous l'Empire, Septème appartenait au comte André d'Albon, maire de Lyon et les propriétaires actuels la famille de Kergorlay sont ses descendants qui l'ont restauré en 1889. (Wikipédia)

Château de Pupetières (Châbons)

"François-Henri de Virieu, ...esprit vif, sérieux et solide, d'une intelligence peu commune, avait acquis une vaste culture qui l'amènz à s'occuper de très près aux questions intéressant son pays et plus particulièrement sa province. Sincèrement libéral, François Henri s'associa au mouvement issu de la noblesse et de la magistrature contre les décisions du pouvoir royal mettant en vacance les parlements provinciaux.

Passant outre, le Parlement Dauphinois se réunit courant mai 1788 et évoqua déjà les principes d'une réforme générale de gouvernement, à savoir, convocation d'Etats généraux, vote des impôts par ceux-ci, doublement de la représentation du Tiers et vote par tête, toute mesure que le Marquis de Virieu approuva.

Le gouverneur ordonna l'exil du parlement qui décida l'envoi d'une délégation dirigée par François Henri à Versailles pour fournir des explications sur les événements. Très introduit à la cour, son crédit et son habileté réussirent à aplanir les difficultés et obtenir la convocation de l'assemblée provinciale. Mais c'est alors, en l'absence de la délégation que survint la Journée des tuiles le 7 juin 1788, jour fixé pour le départ des magistrats.

Grenoble se révolta, les soldats du gouverneur furent lapidés par des tuiles jetées du haut des toits.

Elu député de la noblesse aux Etats Généraux, François Henri était l'un des 47 membres de cet ordre qui, le 25 juin 1789 se réunirent au Tiers Etat. Très actif, il participa à tous les débats importants, vota l'abolition des privilèges dans la nuit du 4 août, et, le 26 août, "la Déclaration des Droits de l'Homme". Partisan d'une monarchie constitutionnelle, il s'inscrit au Club des Impartiaux fondé au sein de la Constituante par les Députés modérés qui formaient une sorte de centre droit.

François Henri fut porté à la présidence de la Constituante le 27 avril 1790. Il donna sa démission car il refusa d'aliéner sa liberté quand on exigea qu'il fit le serment de ne protester contre aucune des décisions de l'assemblée.

Il se retira en 1790 en Dauphiné avec sa famille.

Il fut profondément blessé par l'exécution de Louis XVI le 21 janvier précédent. Est ce la clairvoyance qui le poussa à décliner l'offre du commandement de l'armée assiégée en pressentant le drame qu'il allait arriver?

Il demande alors à son épouse de partir se réfugier en Suisse avec les deux filles ainées, Stéphanie et Eugénie. Le dernier, Aymon, fut confié à sa nourrice à Lyon.

En octobre 1793, il accepta de prendre la tête de la seconde colonne. Il fut tué par un boulet de canon à l'âge de 39 ans.

En 1804, La Marquise de Virieu revint de Suisse pour racheter les terres de Pupetières, du Grand Lemps et de Montrevel. Le château de Pupetières, dévasté et brûlé pendant la Révolution, la famille de Virieu s'installa au Grand Lemps. Aymon venait souvent admirer, avec son ami Alphonse de Lamartine, les ruines de Pupetières. C'est à cette occasion qu'Alphonse de Lamartine écrit son célèbre poème, le Vallon.

Château de Bressieux :

Le château de Bressieux est un ancien château fort du XIIIe siècle dont les vestiges se dressent sur la commune de Bressieux (Isère).

Le château en galets roulés est construit à la fin du xiie siècle par Aymard III. Il succède probablement à un premier château érigé vers 1025 qu'aurait construit un seigneur du nom de Bornon et qu'Aymard Ier, peut-être à la fin du xie siècle, aurait alors fait creuser un fossé circulaire pour protéger la motte.

Le château de Bressieux, « castrum Bressiacum », est cité en 1207, en fief relevant alors de l'Église de Vienne.

Au milieu du XIIIe siècle, Aymard VI reconstruit le château en briques après avoir arasé partiellement les murs en galets roulés. En 1276 on construisit le donjon et on agrandit le fossé.

Aymard de Bressieux en rendit hommage en 1317 au comte Amédée V de Savoie et en 1327 Hugues de Bressieux en fit hommage au Dauphin. À la mort de Geoffrey de Bressieux, mort sans héritier mâle, les terres et le château parvinrent à son gendre Humbert de Grolée après un procès entre lui et Aymard de Clermont.

Le château fut le siège de la baronnie de Bressieux, l'une des quatre que comptait le Dauphiné, érigée en marquisat par le roi Louis XIII en 1612. Construit en briques roses, il est désormais ouvert librement à la visite et est également utilisé de nos jours pour des jeux de rôle grandeur nature.

Les ruines de l'ancien château font l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par arrêté du 16 août 19041.

A voir aussi, à égale distance de notre maison :

Lyon, Valence, St Etienne, Grenoble et ses accès immédiats aux Alpes :

Le village de Revel-Tourdan :

Suivez le parcours proposé par la commune et le plan figurant ci-dessous; ce sera plus simple et rien ne vous échappera !

"Le village actuel de Tourdan se situe sur un site occupé sans interruption depuis les temps préhistoriques jusqu’à nos jours. Depuis les premières traces laissées par les hommes lors de leurs passages dans la région... (surtout à partir du IIe siècle avant J.-C.), le village de Tourdan joua un rôle majeur dans l’histoire de la Bièvre-Valloire, en tant que centre administratif, religieux ou encore commercial.

Tourdan se situait sur une voie de passage reliant la capitale des Allobroges qu’était Vienne à Die puis Marseille... C’est ce village qui avec l’arrivée des romains, aura connu un important développement pour donner naissance à la ville de Turedonum.

A partir du Xe siècle, une période d’essor se fit sentir. On assista, durant ce siècle, aux dernières invasions sarrasines et hongroises et à un renouveau religieux.

Après plusieurs siècles de silence, les textes parlent à nouveau de Tourdan. Entre 910 et 927, Eve donna à la grande abbaye de Cluny un manse situé à Tourdan et un autre à Moissieu. A cette époque Tourdan était peut-être le centre administratif d’une circonscription...

Sur le plan religieux, le renouveau fut marqué par la création de l’abbaye de Cluny qui attira à elle de nombreuses donations. Ce renouveau fut également marqué par la multiplication, dans les campagnes, de petits monastères que l’on nomme prieurés. Le prieuré de Tourdan que l’on peut encore observer de nos jours avec ses bâtiments du XVIIe siècle, ainsi que l’église Notre-Dame apparurent à cette époque et sont mentionnés pour la première fois en 969.

Tourdan était donc, aux alentours de l’an 1000, un centre important puisque se situent sur le territoire de la paroisse une motte-castrale et un prieuré bénédictin dépendant de l’abbaye de Saint Pierre de Vienne. Mais bientôt sur la colline, un important château apparut et attira, sous ses remparts, les habitants des environs." (site officiel de la commune)

Notez que le village de Revel-Tourdan est localisé sur la voie qu'empruntent les pèlerins (sur l'itinéraire qui conduit de la Suisse à la ville du Puy (Haute-Loire), afin de poursuivre, ensuite, leur cheminement en direction de St Jacques de Compostelle.

  • Admirez notamment l'ancien lavoir de Revel,
  • Le château de Barbarin,
  • l'église Prieurale Notre Dame,
  • l'église St Jean Baptiste, la maison Rosset-Bressand, la maison de l'Henri

Les marchés alimentaires et commerçants :

  • Beaurepaire : mercredi matin
  • Hauterives : mardi matin
  • La Côte St André : jeudi matin
  • Revel : dimanche matin
  • Sonnay : mardi matin
  • Saint Jean de Bournay : lundi matin
  • Vienne : samedi matin
  • Voiron : dimanche matin

Consultez aussi le secteur et le département via les liens suivants:

https://www.isere-tourisme.com/search/site/rev

https://www.isere-tourisme.com/patrimoine-culturel/bourg-ancien-de-revel

Les Alpes :

Nous sommes face au massif de la Meije, montagne du bassin de l'Oisans, en bordure nord-ouest du massif des Écrins. Elle est située à la limite des départements des Hautes-Alpes et de l'Isère.

"La Meije est composée de trois principaux sommets : le point culminant, le Grand pic de la Meije à 3 983 mètres (deuxième sommet majeur des Écrins après la Barre des Écrins qui culmine à 4 102 mètres), le Doigt de Dieu ou Pic Central de la Meije (3 973 mètres) surplombant le versant Sud et la Meije orientale (3 891 mètres), gros épaulement neigeux (Wikipaedia)

Bon séjour, belles visites !

MERCI de votre présence et de votre compagnie.

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